Dès la première cigarette, le cerveau d'un individu sera marqué par la présence de nicotine dans le sang. Effectivement, il y a un organe apte à détecter la nicotine dans chaque système nerveux humain. Par contre, on ne devient pas pour autant accro à partir de la première cigarette. Ainsi, avec le temps, c'est la régularité de la prise qui fait installer la nicotine dans le cerveau. De ce fait, cette substance sera vue comme étant un élément vital pour la survie d'un adducteur. Bien sûr, c'est une chose absurde, et pourtant, un fumeur le perçoit de la sorte.
Le système nerveux en général
En effet, le mode de fonctionnement de notre cerveau agit selon une tactique qui assure notre survie. Il existe un réflexe vital commandé par un ensemble ordonné et structuré d'une partie de l'encéphale. Par exemple, nous n'avons pas besoin de penser pour respirer ou pour régler notre rythme cardiaque. C'est-à-dire, tout s'adapte automatiquement à la nécessité de survivre. Cela est enregistré dans la tête. On ressent une sensation de soif lorsque notre anatomie manque d'eau. En revanche, il arrive que ceci ne soit pas cohérent dans l'enchaînement des idées ou des actes. C'est évidemment le cas avec la nicotine.
Le fonctionnement du sevrage tabagique
C'est un ensemble de processus établi pour arrêter la consommation régulière de tabac. Ce sevrage a pour objet de surmonter l'état de dépendance envers la nicotine, la substance active du tabac. En effet, c'est une suite d'opérations compliquées, son efficacité dépend du niveau de soumission et également de la motivation de la personne concernée. Les traitements applicables das le sevrage sont nombreux comme:
- les substituts nicotiniques,
- les comprimés de champix et de zyban,
- les remèdes par l'acupuncture, l'hypnose et le laser.
Souvent, certains traitements du tabagisme marchent vraiment, mais laissent derrière eux pas mal d'effets secondaires. À de nombreuses reprises, les personnes tabagiques évoquent souvent ces craintes comme raisons pour ne pas arrêter de fumer. La faim est souvent rappelée comme un exemple évident. Alors, pourquoi arrêter de fumer donne faim ?
La faim et le sevrage
Une fois que le traitement contre votre soumission à la nicotine commence, votre cerveau change peu à peu de répertoires. En quelque sorte, c'est comme un synonyme de délivrance. Votre perception de l'appétit change d'état d'être. L'indication du cerveau concernant la faim redevient normale, c'est un signal de restauration du métabolisme des glucides. Ce dernier s'est retrouvé troublé par le nicotinisme durant ces long moments où l'individu consomment des cigarettes. D'autre part, quand un individu est habitué à fumer ou à mettre quelque chose dans sa bouche. Cette pratique courante peut encore amplifier cette excitation nerveuse sur la faim.
La faim en tant qu'effets secondaires du sevrage.
La gourmandise ne rime pas avec la cigarette. Plus votre organisme est habitué à la cigarette, plus votre sens s'envole. Le plus souvent, les fumeurs perdent leur distinction des odeurs à cause de l'insensibilité de son organe d'odorat . A côté de cela, les personnes tabagiques perdent aussi de l'appétit alimentaire. Au moment où elles appliquent la désintoxication, tous ces effets de nicotine sur les sens et l'appétit disparaîtraient. C'est alors normal que l'individu ressent à chaque instant la fin car l'effet coupe-faim des cigarettes ne fonctionnent plus sur son organisme.
En outre, la concentration de nicotine dans le sang augmente la quantité de sucre. Durant les moments que l'individu consomme de la cigarette, son cerveau reçoit convenablement le ration de sucre nécessaire. Dès la période privation, le taux du glucose diminue que la personne sentira enfin la faim. C'est pour cela que qu'on peut expliquer pourquoi arrêter de fumer donne faim.
Étant donné que le métabolisme des glucides s'est ranimé brusquement, le fumeur risque fortement d'avoir un goût démesuré pour les nourritures sucrées. Par ailleurs, le sucre aussi est un producteur de plaisir. Le sucre devient en conséquence, une source de satisfaction psychologique qui peut assurer la succession immédiate du contentement procurée par la cigarette. Face à cette situation, les patients recourent souvent à l'ingurgitation massive des sucreries, donc, incontestablement, une prise de poids.
Ainsi, la prise de poids devient une crainte. Le fumeur se console dans la nourriture et c'est pourquoi arrêter de fumer donne faim. Cependant, il n'est pas forcément obligatoire de faire un régime. De plus, c'est le motif qui fait que le sport joue un rôle d'allier si on veut arrêter de fumer.